Année 2003

1 affiche WL150 par Seripop
2 WL150 Doc Pickles intro @ Lee_s Palace photo Kim Temple
3 WL150 Anagramme @ Lees
4 tables Zine WL150 @ Lees
5 roquettes WL150 Red Glare @ Lees
6 WL150 Public @ Lees
7 WL150 Do Make Say Think @ Lee_s photo Kim Temple
8 WL150 Kevin Drew @ ami @ Lee_s Palace photo Kim Temple
9 WL150 Jonny Dovercourt et table de zine @ El Mocambo
10 WL150 Public @ El Mocambo
11 WL150 Berceuse Arkestra @ El Mocambo
12 WL150 CCMC @ Galerie de musique photo Kim Temple
13 WL150 Solvent vs Lowfish @ Music Gallery
14 WL150 Le rouge à lèvres malade @ Sneaky Dees
15 WL150 Suck My Disc au Salon des labels indépendants
16 WL150 Cuff the Duke @ Sneaky Dee_s photo Kim Temple
17 WL174 Les Mouches avec Owen Pallett @ Sneaky Dee_s photo Kevin Parnell
18 Affiche de collecte de fonds WL Zine 1 par le service des plaintes
19 WL192 Sandro Perri photo Kevin Parnell
20 WL193 Ninja High School + Public @ Sneaky Dee_s photo Jonny Dovercourt
21 WL193 Public @ Sneaky Dees 1
22 WL193 Public @ Sneaky Dees 2
23 WL193 Public @ Sneaky Dees 3
24 WLzine_2003_12 Couverture par Tyler Clark Burke
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Pour son troisième anniversaire, Wavelength 150 (du 13 au 16 février), Wavelength reprend la formule de son festival d'hiver : une programmation de choc combinée à un mélange intrigant de salles le temps d'un long week-end. Do Make Say Think est la tête d'affiche d'une affiche chargée au Lee's Palace lors de la soirée d'ouverture, puis se déplace au El Mocambo récemment rénové pour un set joyeusement destructeur du groupe dissident de DMST, Lullabye Arkestra. Le samedi soir, Wavelength entame une longue collaboration avec la Music Gallery, présentant son premier concert dans les locaux alors relativement neufs de cet espace expérimental historique, dans la magnifique église St. George the Martyr — avec notamment la participation du groupe fondateur de MG, CCMC, aux côtés des icônes électroniques torontoises Solvent vs. Lowfish — avant de revenir au Sneaky Dee's pour clôturer le week-end avec les rockers alt-country en sueur de Cuff the Duke. Et une foire aux labels indépendants le dimanche après-midi. Ouf !

Suite à des changements en coulisses au sein de l'équipe de WL, le magazine fait une pause estivale avant de revenir avec des couvertures tout en couleur et un tout nouveau logo conçu par l'artiste Tyler Clark Burke, célèbre pour Three Gut Records et Feist. Et quel été pour être jeune et libre en ville ! 2003 a marqué l'été de « Torontopia » — le début de la renaissance culturelle de Toronto, un nouveau mouvement d'initiatives artistiques citoyennes dans lequel Wavelength est emporté aux côtés de Vazaleen, Spacing, Trampoline Hall et d'autres. Toronto se découvre le soir de la panne d'électricité du mois d'août, puis retrouve un motif d'optimisme avec l'élection à l'automne d'un nouveau maire progressiste, David Miller. Pendant ce temps, dans le monde de la musique, Internet propulse les héros locaux Broken Social Scene, les Constantines et les Hidden Cameras au rang de stars internationales de la musique indépendante.

Spectacles mémorables :

  • Le groupe électro Holy Fuck joue son tout premier concert, en première partie de « Hot Carl » (WL 148, 26 janvier à SD)
  • Le groupe d'Owen Pallett, Les Mouches, fait découvrir à de nombreuses personnes leur folk freak maniaque (WL 174, 3 août à SD)
  • Les groupes de hardcore/métal Cursed et Gesundheit montrent qu'il y a de la place pour la musique heavy metal à Wavelength (WL 176, 17 août à SD)
  • Le chanteur Damo Suzuki interprète deux sets libres accompagnés par différents groupes de stars de Wavelength (WL 180, 14 septembre @ SD)
  • Le ‘zine est relancé avec une explosion épique de dance-punk mettant en vedette Anagram, le Sick Lipstick, controller.controller et plus encore (Événement spécial, 29 novembre @ SD)
  • La faction dissidente de Hidden Cameras, le Pavillon de Barcelone, apprend à danser à la foule indie de Toronto, aux côtés du visiteur de Portland, Oregon, The Blow (WL 194, 21 décembre @SD)