Bibi Club : L'interview de WL

Fournisseurs de :Salons, synthétiseurs, badges scouts

Fichier à côté de :Pas de vacances, Hommes en qui j'ai confiance, Blonde rousse

Apparaissant: Bibi Club + Tiger Balme + Geordie Gordon : Wavelength, 28 novembre 2024 à la paroisse Sainte-Anne (651, rue Dufferin)

Plus d'infos ici

Bibi Club est le projet musical de la chanteuse-claviériste Adèle Trottier-Rivard et du guitariste Nicolas Basque. Originaire de Montréal, le duo crée une musique folk pop onirique depuis 2019.Leur deuxième albumFeu de garde (2024)repousse les limites des genres, remplissant vos oreilles de rythmes implacables et de mélodies vertigineuses.Lian McMillan de Wavelength a parlé au Bibi Club de leurs liens communautaires forts qui influencent leur musique.

Félicitations pour votre tournée d'automne ! Quel est votre meilleur souvenir de la tournée jusqu'à présent ?

Vers le milieu de la tournée, nous avons appris que nous avions perdu l'un de nos meilleurs amis, ce qui a été un véritable défi. Les concerts sont toujours un moment privilégié, un moment de partage. Le concert de Londres, au Royaume-Uni, était vraiment spécial. Adèle a fait tomber de l'eau sur son clavier, comme possédée. Le synthé a complètement grillé ! On pense que c'était notre ami qui jouait avec nous, nous disant de nous lâcher, de profiter de l'instant présent, d'aller plus loin, de vivre pleinement chaque instant. On se souviendra toujours de ce moment.

Votre deuxième album,Feu de garde,a été mixé par Ali Chant (PJ Harvey, Aldous Harding) et masterisé par Matt Colton (Depeche Mode, James Blake). Quel élément ont-ils apporté à l'album ?

Ils étaient tous deux ouverts à la musique et en phase avec nos émotions. Ali a su faire ressortir encore plus d'émotions et de clarté dans les chansons. Matt a apporté la touche finale qui a apporté de la cohésion à l'album et une personnalité sonore. C'est toujours agréable d'avoir des collaborateurs qui approfondissent et approfondissent la vision.

Pourriez-vous nous en dire plus sur votre expérience avec les Guides et comment cela a influencé votre expérience ?Feu de garde?

Adèle a passé sa jeunesse chez les scouts. Elle a appris à chanter en groupe, à vivre en communauté et à chanter de nombreuses chansons traditionnelles québécoises et françaises. On perçoit l'influence du groupe sur l'album. Elle a invité des amis à venir chanter en studio, ressentant ainsi la force du groupe et de la communauté.

Comment conciliez-vous votre rôle de collaborateurs artistiques, de couple et de parents ? Est-il difficile de partager autant de facettes ?

Oui, c'est difficile et exigeant. Il est difficile de trouver un équilibre, mais nous faisons de notre mieux. Nous essayons de mieux séparer les moments où nous sommes artistes et ceux où nous passons du temps en famille. Nous nous engageons pleinement dans les deux sens.

Vous décrivez votre musique comme une « musique de fête de salon », qu’est-ce qui la différencie, par exemple, de la musique de fête de cuisine ?

Personne ne cuisine ni ne commande, du vin coule à flots, différentes générations cohabitent dans une ambiance festive, une communauté. Les enfants dansent, les amis rient, les aînés boivent, la tension d'être humain et la fatalité de la vie.

Ne manquez pas le Bibi Club le 28 novembre à la salle paroissiale Sainte-Anne !

Obtenez vos billetsmaintenant!

– Entretien avec Lian McMillan