Fournisseur de :Rock anthémique, acoustique atmosphérique, pop légère
Fichier à côté de :Broken Social Scene, The Sea and Cake, The War on Drugs, Apostle of Hustle, Grateful Dead (autoproclamé, voir « Hey Marika, Get Born »)
Jouant:DJ set au WL18 Night 1, vendredi 16 février @ The Garrison.Achetez vos billets ici !
Brendan Canning n'a plus besoin d'être présenté. Membre fondateur de Broken Social Scene, musicien solo. et DJ, compositeur de musique de film, mentor de jeunes musiciens – il a tout fait sur la scène rock indépendante canadienne. Le sympathique Torontois se prépare pour une autre tournée avec BSS, où il pourra être vu Il balance sa basse, saute sur scène et donne des coups de pied. Angelo Gio Mateo de Wavelength a été surpris J'ai rencontré Brendan pour parler de tournées, de la scène musicale canadienne et de Toronto.
Vous avez passé beaucoup de temps l’année dernière en tournée avec Broken Social Scene, et maintenant vous venez d’annoncer unenouvelle tournée en Amérique du Nord, au Royaume-Uni et quelques dates de festivals. Vous êtes-vous amusés lors de la dernière tournée ?C'est devenu plus facile depuis vos débuts ? Avez-vous hâte de repartir en tournée avec le groupe ?
Les jours où c'est sympa, les tournées peuvent être amusantes. J'aime toujours voyager et je ne me lasse jamais de jouer dans les grandes salles de villes comme Chicago, Oakland, Londres, Amsterdam, etc. Je ne suis pas forcément enthousiaste, juste anxieux. Je veux que tout se passe bien. Les tournées qui se déroulent sans accroc sont les meilleures.
Quel est votre processus d'écriture ? En quoi diffère-t-il de l'écriture pour votre propre travail solo et Vous écrivez pour Broken Social Scene ou pour n’importe quel autre groupe avec lequel vous travaillez – comme Cookie Duster ?
Il y a beaucoup de cuisiniers chez BSS – est-il nécessaire d'en dire plus ? C'est un processus long et qui peut changer du jour au lendemain, selon les circonstances et les personnes présentes.
Vous semblez être un fier Torontois – vous tweetez sur les problèmes de Toronto, vous promenez vos chiensdes interviews dans les parcs de la ville et la mise en valeur de la ville dans vos clips vidéo comme « Love is New » et« Skyline. » Que signifie Toronto pour vous ?
Toronto, c'est chez moi, et je tiens à ma ville et à son évolution constante. Les opinions divergent sur la façon de faire fonctionner cette ville, et c'est à chacun de faire entendre sa voix si l'on veut que les choses se fassent d'une certaine manière. Je ne suis qu'un homme parmi tant d'autres dans une grande ville.
Quels sont les enjeux les plus importants pour vous pour les prochaines élections municipales de Toronto ?
Comme d'habitude : moins de gratte-ciel dans mon quartier, même s'il est quasiment impossible d'arrêter la vague de copropriétés. Je continue à privilégier les espaces verts. De bons transports en commun, et même si je ne prends plus autant de métro ces temps-ci, je sympathise avec ceux qui le font au quotidien. Comment ne pas le faire ? Enfin, et surtout, essayez d'allouer plus de fonds aux refuges et aux personnes les plus démunies. Ah oui, y a-t-il une chance de réparer les nids-de-poule sur la rue Wellington, de Tecumseh à Niagara ?
Comment êtes-vous devenu un si grand fan du Toronto FC (TFC) ? Êtes-vous enthousiaste à l'idée de participer à la CONCACAF ?Ligue des Champions, et avez-vous des pronostics ?
Pas de pronostics. Le TFC est mon équipe depuis sa création. Je joue depuis l'âge de huit ans. C'est mon sport de prédilection.
Comment la scène musicale canadienne a-t-elle changé depuis vos débuts ? Où en est-elle maintenant et où en est-elle ?en allant?
Eh bien, HMV ne vend plus autant de cassettes hHead, c'est sûr. Le produit physique n'est plus au centre de l'attention, mais ce qu'on appelle une playlist, oui ? Je ne sais pas… Je vais toujours chez Rotate [This], Kops [Records], Grasshopper [Records], où que ce soit, et j'achète des disques. Il y a beaucoup de R&B ultra-doux qui circule, et je ne suis pas toujours fan – tellement lent et ennuyeux. Il y a plein de bons groupes, musiciens et artistes en ville – ça a toujours été une constante.
Quelles leçons avez-vous apprises sur l’industrie de la musique que vous transmettriez aux jeunes artistes qui commencent tout juste leur voyage ?
Soyez honnête avec vous-même et avec votre entourage. Si vous voulez savoir comment quelqu'un réussit, regardez ce qu'il a fait pour y parvenir. La connaissance est essentielle… et un petit truc, la pratique. Soyez gentil et essayez de créer de la positivité par tous les moyens possibles.
Quels sont les groupes ou artistes émergents et prometteurs que nous devrions surveiller ?
Raleigh,Charlotte Cornfield,Kira May,Adrian Underhill,Enfants timides.
Sur quels projets travaillez-vous actuellement ? Y a-t-il de la nouvelle musique en route, à travers votre propre solo ?work, Broken Social Scene, ou tout autre groupe avec lequel vous travaillez ?
Broken Social Scene continuera d’être mon centre d’intérêt en 2018.
À quoi devons-nous nous attendre de votre set de DJ au Wavelength Winter Festival, et allez-vous vraimentjouer le nouvel album d'Odonis Odonis ?
Odonis Odonis, de l'avant vers l'arrière. Peut-être un peu de Luther Vandross ou de Gregory Isaacs, s'il y a du temps. Il faudrait probablement aussi rendre hommage à Dolores O'Riordan.
— interview par Angelo Gio Mateo